mardi 29 janvier 2008

Portraits de femmes



Ombres et soleil

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Lorsque je lève les yeux,Je rencontre le ciel
Et je me dis : "Mon Dieu,
Mais c'est sensationnel,
Tant de bleu."
Lorsque je lève les yeux,
Je rencontre tes yeux
Et je me dis : "Mon Dieu,
C'est vraiment merveilleux,
Tant de bleu."

Plus bleu que le bleu de tes yeux,
Je ne vois rien de mieux,
Même le bleu des cieux.

Plus pur que ton souffle si doux,
Le vent, même au mois d'août,
Ne peut être plus doux.
Plus fort que mon amour pour toi,
La mer, même en furie,
Ne s'en approche pas.

Plus gris que le gris de ma vie,
Rien ne serait plus gris,
Pas même un ciel de pluie.
Plus noir que le noir de mon cœur,
La terre en profondeur
N'aurait pas sa noirceur.
Plus vide que mes jours sans toi,
Aucun gouffre sans fond
Ne s'en approchera.
Plus long que mon chagrin d'amour,
Même l'éternité
Près de lui serait court.
Plus gris que le gris de ma vie,
Rien ne serait plus gris,
Pas même un ciel de pluie.

On a tort de penser, je sais bien,
Aux lendemains.
A quoi bon se compliquer la vie
Puisqu'aujourd'hui...


Plus fort que mon amour pour toi
La mer, même en furie,
Ne s'en approche pas.


Charles Aznavour

Anonyme a dit…

j'adore les brunettes aux yeux noirs. Mais depuis que je t'ai connu, une brunette aux yeux bleu ! c'est toujours mieux... Rabbi ya7fdhek.

Anonyme a dit…

Oiseau fabuleux, originaire d’Ethiopie et rattaché au culte du Soleil, en particulier dans l’ancienne Egypte et dans l’Antiquité classique. Le phœnix était une sorte d’aigle mais de taille considérable; son plumage se parait de rouge, de bleu et d’or éclatant, et son aspect était splendide. Il n’existait jamais qu’un seul phœnix à la fois; il vivait très longtemps: aucune tradition ne mentionne une existence inférieure à cinq cents ans. N’ayant pu se reproduire, le phœnix, quand il sentait sa fin venir, construisait un nid de branches aromatiques et d’encens, y mettait le feu et se consumait dans les flammes. Des cendres de ce bécher surgissait un nouveau phœnix.

Il s'avère que les gens du monde ont tellement l'habitude qu'on les recherche que, qui les fuit, leur semble un phénix et accapare leur attention. Mais là si tout ce que je veux c'est s'éloigner de toi alors pourquoi tu captes toute ma concentration et mes refléxions ?

Anonyme a dit…

Parmi les êtres de ce monde, je ne reconnaîtrai jamais que l'existence que de ceux que j'aime. Mon amour pour ce phenix agit sur moi comme une force comme le sont le courant, la pesanteur, la lumière,... et toute force est dirigée par des lois. Bien que je n'arrive pas à défier les siens. Je devient comme un insomniaque qui rêve d'une défaillance de la conscience qui me permettrait de dormir. Je devient comme un acrobate qui rêve d'une défaillance de la pesanteur qui me permettrait de ne jamais retomber. Conformément à la loi de pesanteur, je retombe éveillé. Conformément à la loi de la pesanteur, j'ouvre mon coeur à l'anze qui est en toi plus facilement que je la ferme. La loi de ton anze est ma seule loi de vie dans ce monde de chaos et de désesoir. La loi de ton anze est injuste, elle m'épuise et absorbe tout ce qui est en moi. La loi de ton anze est dure, je ne peux que la subir, car elle réunit Eve et Adam depuis l'origine des temps. La loi de ton anze veut que je te désire un contraire, pendant que tu me désire ton semblable. L'Amour suppose des différences. L'amitié fraternelle suppose une égalité.

Anonyme a dit…

Maktub... Il y a des moments ou, malgrès notre désir de venir en aide à un personne en particulier, nous ne pouvons rien faire. Ou bien les circonstances ne nous permettent pas de l'approcher, ou bien la personne est fermée à tout geste de solidarité ou de soutien.

Le Maître dit : " Il nous reste l'amour. dans les moments ou tout le reste est inutile, nous pouvons encore aimer, sans attendre de récompense, de changement, de remerciements. Si nous parvenons à agir ainsi, l'energie de l'amour commence à transformer l'univers qui nous entoure. Lorsque cette énergie apparaît, elle fait toujours son travail."

Maktub...
Paulo Coelho