mercredi 10 octobre 2007

poupées russes


Entassement, superpositions, contenances, opacité et transparences, tel est l univers de mes souvenirs!

lundi 1 octobre 2007

mouvement vide-tensions


A quoi pensez-vous en fixant cette image?
A vos commentaires...

jeudi 27 septembre 2007

Le mal de toi!


Ta sérénite comme une vague balaye la surface de mon écume bleu
Le souvenir de ton regard se posant sur mes paupières baissées
Me fait sentir le coeur palpiter jusqu aux bout des cils

Et l'attente jusqu aux bout de mes rêves nocturnes de toi
tisse mille et un scénarios de retrouvailles insolites
Mille et un baisers ardents que tes lèvres me doivent encore!

Le mal de toi va en grandissant en s amplifiant comme un tonnerre
Qui ne trouve echo que dans l enceinte de mon coeur
Mais ta voix est mon baume, tes mots sont mon unique refuge.

lundi 27 août 2007

good morming life

Refaire une promenade par dela les souvenirs fanés, graver mes pas dans les sentiers perdus de mon jardin secret.
Rire de nouveau et pleurer comme une enfant!
Courir et se salir parcequ' on a trébuché!
Sourire à un inconnu pour le plaisir de communiquer sans paroles!
Devancer les evenements et croire aux surprises , aux miracles a la possibilité d'être heureux juste parce qu'il ya bien un temps pour le bonheur apres le malheur et la routine.
Autant de choses au goût inaltérable qui vous redonnent envie d exister autrement qu en étant maussade et desespéré!

samedi 14 juillet 2007

proverbe à méditer!

Lorsque tu ne sais pas où tu vas, regarde d'où tu viens.

lundi 9 juillet 2007

dimanche matin


Le matin, première brise vient à la fenêtre me saluer.
Je me réveille en sursaut, mon frère a oublié de débrancher son radio réveil, la sonnerie m'a extirpée de mon sommeil paradoxal; mon rêve à peine commencé a été emputé d'un cri d alarme sourd.

Dimanche matin, soucis ménagers, journée bien remplie de vide!
la journée de repos fictif vient de naitre en même temps que mon angoisse!

Que vais-je faire aujourd'hui, un dimanche de plus, une journée de moins ds ce mois qui passe à une vitesse virtigineuse, le premier, le deux et deja le 8 juillet, et les jours qui se succédent plus ennuieux et vides de sens que jamais!

J'écris toujours et encore, cherchant je ne sais quelle parcelle de mon être , qui soit intacte , non contaminée de lassitude pour peut etre aller de l avant!
et Si je la trouvais cette partie de moi encore verte , ce vert paturage à quoi me servira-t-il, y planterai- je quelques fleurs?

Les oiseaux partent et reviennent sans être invités quelque part ni etre congédiés, et les coquelicots naissent spontanément!

Je le sais et je savoure cette palissade non sans soupirer!

jeudi 5 juillet 2007

vide absolu!



J ai regardé mon écran les yeux fermés,
Je n ' ai absolument rien à dire aujourd'hui mais j avais envie de parler
faute d'interlocuteur, je souris à mon écran et je caresse mon clavier!

jeudi 28 juin 2007

sans chez soi détérminé!


Il est bon d' avoir un chez soi, on y revient pour se poser, se reposer
On se sent à l' abri des autres et de tout évènement incontrolable
Chez soi on est le bienvenu , il n y a que nos règles à suivre
Pas autant de contraintes que le monde extérieur
Mon chez moi à moi , je n 'arrive pas à le trouver
Je sais bien que je ne serai plus longtemps l 'hôte de ma chambre qui m ' a connu enfant
Et je ne cherche ni à l ' améliorer ni a la rendre plus confortable
Mon confort est peut etre ailleurs, je ne sais pas où
Je ne sais pas pourquoi j ' ai cette vague sensation de ne pas rester 
Dois-je m ' en aller à la recherche de mon chez moi?
j 'ai cette sensation indélébile que mon chez moi n 'est pas encore la
Que je dois le construire plutôt que de le trouver
Mais il commence par une évidence,
La porte d ' entrée de  mon chez moi est d 'abord ma stabilité intérieure
et ma cloture , ultime protection est sans doute mon repère le seul, l affection  partagée.

lundi 18 juin 2007

Une journée singulière


La matinée s’annonçait chaude, le soleil allait être de plomb, et moi, je n’avais en tête que le désir de partir loin, loin de tout vacarme, de toute agitation, faire partie du calme d’un paysage en étant l’unique personnage vu de dos, assis sur le bord d’un rocher.

Il faut m’habiller vite, me soustraire à la naissance de cette journée, partir plus vite que les rayons du soleil, tant qu’ils s’annoncent encore timides et doux, partir avant de se prendre dans les filets de l‘obligation, de l’ennui, du devoir carré et toujours bien accompli.

Il me faut fuir aujourd’hui, avant le passage du temps lui-même,avant que je ne devienne vieille et que je ne perde ma jeunesse dans le flots incessant des journées où il fait bon vivre mais que nous passons à l’ écart de la vie elle-même dans la barque de l oubli de nous même !

Il me faut fuir vite, surtout avant que je ne sois prise dans le piège de la raison, et dans les flots des pensées_- prisons à ne plus en finir.

J’ouvre ma fenêtre pour faire entrer un peu de lumière, et je fourre dans mon sac difforme la bouche béante, mon porte feuille, quelques affaires pour la route, mes papiers, et dans un geste brusque je resserre le tout sans vérifier s’il me manque quelque chose encore, presque pour me défaire de ce sens aigu de la responsabilité et de la vérification, rejetant tout lien avec les gestes raisonnables, ces rituels quotidiens avant de sortir,
Parce que cette journée est pour moi, et pour moi seule, elle ne se doit nullement d’être raisonnable, prévisible.
Une journée rien que pour moi, parce que aujourd’hui je vis, et que je suis là, jeune, autonome, active.
Aujourd’hui et non demain, je ressens ce besoin d immortaliser une journée et une seule en la vivant comme je l’entend sans contrainte aucune.
Je ne sais où je vais aller, mais une chose est certaine, je vais à la rencontre de la providence.
Sur le chemin je retrouverai peut être ce que j’ai perdu et que je ne cherche plus : ma sérénité et quelques notes d’évidence.
L’évidence que la vie est devant moi, qu’elle est belle, mais que je ne m’en rends pas souvent compte !
Aujourd’hui est une journée singulière puisque je serai à milles lieues des tourbillons de la vie moderne où on est presque toujours contraint à s’oublier soi-même !




lundi 11 juin 2007

tenter d'aimer


Tenter d’aimer, c’est s’abandonner à l autre sans culpabilité
Avoir peur d’être ridicule et de ne pas être soutenue par un regard tendre, seule assurance sur ce chemin tapissé d’inconnu
Et que tout s‘évanouisse, et la peur, et le ridicule quand cet être vous répond avec un sourire !
Et s’Efface soudainement le ridicule de la probabilité de s’être dévoilé plus qu il n en faut
Pour ne pas se sentir accablé par la honte d’être aussitôt quitté dans son élan de partage Réponse amère à cette confiance mal placée et offerte à qui n’est pas capable de la rendre plus belle, la sculptant en éternité
Tenter d’aimer, et ne pas l’être en retour
C’est comme tendre la main pour saluer l’autre sans qu’il ne réponde à votre avance par une poignée de main, et qu il vous laisse la main vide l’âme envahie de ridicule d’être planté là figé de surprise devant les autres !


mercredi 6 juin 2007

Le pourquoi de nos déceptions


« Le monde est de deux sortes : celui dont nous rêvons et celui qui est réel »
Paolo coelho..(Le Zahir)

Je me suis rendue compte en lisant ce début de paragraphe que cette phrase pouvait rendre compte de la naissance du conflit interne dans chaque personne, simplement par cette dualité, deux facettes, l’une imaginaire, l autre réelle, d’un seul et même évènement.
Notre espoir et volonté de voir se confirmer nos désirs imaginaires dans la vie réelle laisse souvent place à une grande déception car bien des fois il n y pas équivalence.

Le futur étant encore un point d’interrogation, nous spéculons sur ce qui arriverait, nous échafaudons des scénarios interminables pour nous rassurer dans un sens ou dans un autre
Que nous soyons dans un état d’esprit optimiste, ou pessimiste.
Etre réaliste, n’est pas souvent réalisable !drôle d’euphémisme !

Je suis déçue du déroulement d’un événement dans ma vie, parce qu’il est soit pas du tout conforme à mon attente, soit contradictoire avec mes objectifs, soit trop vite passé, ou encore trop lent dans son évolution.
Cette déception n’est que le fruit de la confrontation de ce qui c’ est réellement passé avec ce que je prévoyais qu il arrive.

Bien des fois nous nous infligeons des souffrances longues et acharnées, en somme inutiles à cause de cette comparaison fortuite.

Les optimistes disent souvent : « Avance et ne penses pas trop ! »
Même si cela peut paraître banal pour certains, aujourd’hui je me suis vraiment donné les moyens de saisir le sens profond de ce conseil :
« Ne penses pas trop » est un conseil pour émettre une réserve quand à la spéculation sur ce qui arriverait.
Notre déception démesurée provoquée par des évènements qui auraient pris une tournure déplaisante à notre goût, n’est alimentée, agrandie que  par ce phénomène de comparaison.
Une attente , un espoir qui aurait avorté avant son éclosion !
Comme quoi, notre imagination nous dessert !


A.M

mercredi 30 mai 2007

Reflexion sur le voyage



Le voyage dans toute ses déclinaisons
représente le mouvement  entre le moment et le point de depart et ceux de l arrivée
le cumul d images de sensations de peurs et de soulagements
le voyage prend son véritable sens qd il est généré par un besoin
le voyage est découverte
Le voyage est récolte
le voyage est construction
le voyage est l inconnu
Le voyage est le chemin
Le chemin est la vie

dimanche 27 mai 2007

Message d 'espoir


Un ensemble d' évènements, tous différents, un seul point en commun , vous les accepter les uns comme les autres, vous devez les accueillir les admettre.
S' ils sont durs ils vous apprendrons à être meilleur ou feront éclore votre vulnérabilité.
Une seule réalité, celle qui s offre à vous, celle qui vous demande de l accepter pour l appréhender avec courage, il n 'est point question de pourquoi, avancer, toujours avancer, parceque il n y que ça de vrai!
Rien n ' est éternel, ni le bonheur ni le malheur
Pensez y et vous aurez la bonne position pour aller de l avant en toutes circonstances!

Courage à vous tous qui essayez de régler vos problèmes sans baisser les bras!

mercredi 16 mai 2007

Tu es passée par là!



J'ai ouvert ma fenêtre , l' odeur du matin fleuri m' a soufflé une belle énergie, je suis heureuse de pouvoir commencer cette journée sur une note de bonne humeur matinale!
L' odeur du jasmin déclare la présence des jasmins
Le bruissement des feuilles déclare la présence de la brise.
L' espoir ressenti déclare la présence de la vie
Mais ton abscence déclare ta présence éternelle au plus profond de moi même!
Je ne peux pas m ' empêcher de penser à toi, et tu ne peux pas t 'empêcher de déclarer ta présence
par la force de ton abscence même.
Ton abscence me pèse trop mais ton souvenir vit en moi plus réel et émouvant que jamais
Je t 'aime au delà du joug du temps et de la distance.
T aimer est ma seule délivrance, en toutes circonstance je t 'aime , je le déclare au présent conjugué dans tous les temps , parceque tu es passée par là: par mon coeur et je t ai retenue a jamais  sous les traits d'une éternelle jouvance
insondable bonheur- souffrance !

dimanche 13 mai 2007

Marée haute marée basse



Une petite promenade sur l aile de la jeunesse par les ruelles de sidi Bou, Main dans la main, les yeux balayant tantôt la foule, tantôt le paysage, et de moments à autres sondant l inconnu dans une interrogation sur le futur : cette personne me tenant la main, sera-t-elle encore la dans quelques temps encore ?

La ruelle, mêmes portes, mêmes murs, évinçant le tourbillon des horloges, et moi au milieu de cette interrogation dans un cadre de rêve, cherchant dans le regard de l autre une étincelle rassurante, psalmodiant une prière pour la fortune, celle qui me déchargerait de cette lourde contrainte de devoir toujours renoncer au passé, recommencer et retrouver et espoir et confiance en le futur !


mardi 8 mai 2007

ILLUSION D OPTIQUE: ca tourne !


ILLUSION D OPTIQUE; noires ou blanches les intersections?




Le bonheur de "PENSER"

Il est merveilleux de s’apercevoir réellement combien les journées sont différentes malgré l’apparence monotone du passage du temps.
Rien n’est changé à ce point, mais chaque pensée qui nous anime prend définitivement fin après le moment de son expression proprement faite.
Et l’espace de notre esprit se voit défiler chaque nouvelle journée, d innombrables nouvelles pensées dans le même couloir, dans la même enceinte mentale.

Notre cerveau n’est en effet qu’un contenant, le contenu diffère selon les stimuli du monde externe et nous interagissons, en transposant leur influence dans la fabrique même où naissent nos espoirs, notre volonté, et nos avis.

Merci à ce mécanisme indéchiffrable qui fait qu’aujourd’hui, je me suis réveillée sans soucis aucun, le corps et l’âme tous deux reposés, fins prêts pour débuter une journée de vie, une journée d’espoir.

Souriez a la vie, gardez toujours espoir en elle, et n’oubliez pas de dire merci mon dieu pour le bonheur de pouvoir penser, pour la liberté de penser , et pour l’intimité préservée de nos productions mentales.
Pensons-y plus souvent, nos journées seraient meilleures !

Voyez comme nous ne sommes plus grand chose sans ce don précieux : la pensée.
Un clin d’œil aux malades d’Alzheimer et une pensée spéciale pour eux.

Et vous, quoique vous soyez accablés par des malheurs, sachez être heureux pour la plus précieuse des santés, votre santé mentale ,votre capacité de discernement, votre autonomie de penser , de retenir et d’ apprendre qui conditionne celle d’ être une personne à part entière : un intellect greffé sur un corps.





jeudi 3 mai 2007

Poésie et mémoire


Les yeux et la mémoire
de louis ARAGON

C'est une chose étrange à la fin que le monde
Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit
Ces moments de bonheur ces midi d 'incendie
la nuit immense et noire aux déchirures blondes

Rien n'est si précieux peut etre qu'on le croit
D'autres viennent ils ont le coeur que j' ai moi meme
Ils savent toucher l'herbe et dire je vous aime
et rêver dans le noir où s'éteignent des voix

D' autres qui feront comme moi le voyage
D'autres qui souriront d'un enfant rencontré
Qui se retourneront pour leur nom murmuré
D'autres qui lèveront les yeux vers les nuages

Il ya toujours un couple frémissant
Pour qui ce matin là sera l'aube première
Il y aura toujours l 'eau le vent la lumière
Rien ne passe après tout si ce n 'est le passant

C'est une chose au fond que je ne puis comprendre
Cette peur de mourir que le gens ont en eux
Comme si ce n ' était pas assez merveilleux
que le ciel un moment nous ait paru si tendre!





mardi 1 mai 2007

Vivre ou survivre ?

Une journée se compose de 24 h.
Si le repos demande en moyenne 7 h de sommeil, nous sommes éveillés pendant 17 h.
17 h où nous pouvons, théoriquement, jouir de toutes nos possibilités mentales et physiques et consacrer tout ce temps qui nous est offert dans différentes tâches.
Nous passons le clair de notre journée au travail, et pour tant de personnes, le travail consiste
Dans la succession monotone de tâches physiques ou intellectuelles qui souvent, ne leur permettent pas d’exploiter toutes leurs capacités ou l’étendue de leur potentiel.
Tout ce temps, toutes ces richesses sous forme de potentiel ou de don ne sont pas utilisées entièrement.
Pour certaines personnes, les journées qui passent sont très courtes et le nombre de responsabilités et de devoirs à réaliser pendant ces 17h ne leur permettent pas de penser à quoi
ils aimeraient penser.
Elles les retiennent chaque jour dans une prison dorée de laquelle elles ne peuvent échapper car elles sont prisonnières du temps et des actes presque mécaniques qu’elles doivent assurer
chaque jour sans relâche !

Les journées passent, et nous ne trouvons pas l occasion d apprendre a jouer d’un instrument, a perfectionner une langue ou encore à nous rendre compte que nous vieillissons rapidement
Mais que nous dépensons notre temps pour assurer notre survie, avoir de quoi dépenser pour notre santé, pour nos habits notre logement.
Toutes nos capacités sont presque entièrement consacrées à l’obtention d un certain équilibre de vie, et nous nous efforçons non pas d’avancer mais de maintenir le plus souvent non sans peine cet état d équilibre fragile et versatile de nos jours !

Pouvoir vivre ses passions relève de plus en plus du luxe, tricher un peu pour avoir le temps de lire un livre, pour penser à acheter ou à économiser pour tel appareil ou tel ouvrage.
Essayer de vivre plutôt que de ne faire que survivre devient un but pour certains.
Challenge difficile à relever, mais il n’est point impossible, quand on le veut vraiment, de faire quelques concessions pour le plaisir de vivre un peu plus jeune d’esprit, un peu plus libre malgré le contraintes de la vie moderne.

Pensez y et vivez plutôt que de survivre parmi les contraintes imposées par le rythme de la vie moderne.
Il n’ est jamais trop tard pour apprendre
Il n’est jamais trop tard pour découvrir
Nous ne sommes jamais trop vieux pour être ou devenir performants et ce quelque soit le défis a relever et quelque soit le domaine.

Pensez que nous n’utilisons que le 1\10 de nos capacités mentales et que nous avons parfois trop peu de volonté !
Pensez à évoluer chaque jour un peu plus en vous demandant qu ai-je réalisé ou appris de nouveau aujourd’hui, une journée ou on n’avance pas est une journée de perdu !

Bon courage à tous !
A.M





vendredi 27 avril 2007

Espoir, désepoir quand vous nous tenez!

Tout en moi se dissout dans une éclatante et voluptueuse rage de vie que seul explique suffisamment le désespoir!
Et ce que nous appelons déséspoir n'est souvent que la douloureuse avidité d'une éspérance inassouvie!!

A méditer

samedi 14 avril 2007

citation du moment



Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse.

mardi 10 avril 2007

Message à L inconnu qui a altéré mon inspiration

J'aime beaucoup trop la clarté pour m emprisonner dans le doute et l inexactitude accompagnée de sentiment d inconnu quand je suis ds mon propre blog, sensé etre lieu de détente et de fuite de toutes les pressions que je subis en cette periode pas simple de ma vie!!

Je n ai rien pu ecrire de neuf ni m aérer l esprit chez moi, dans mon propre blog, simplement à cause de l'incursion d un visiteur dans mon blog, pour dire et taire à la fois à demi mots ce qu il aurait pu dire simplement et m épargner ainsi  l inconfort de deviner quel etranger peut m aimer en même temps que me detester  avec autant de véracité pour ecrire et  puis supprimer ses commentaires, laissant l espace de mon blog tel un champ miné, 
qui porte les cicatrices des regrets!!

Je ne t enveux pas colombe, puisque tel est ton pseudo, et la seule identité et trace que j ai de toi, simplement ne viens plus perturber ma sérénité, c est tout ce que je possède, et je tiens tellement à ma sérénité!

vendredi 6 avril 2007

Le soldat perdu d'Hitler


Le prix de la liberté!



Un jeune allemand Georg Gärtner. Soldat dans l’afrika corps. Fait prisonnier par les américains. Envoyé dans un camp au nouveau Mexique. Il s’évade. Son pays est dominé par les soviétiques. Ils sont plusieurs évadés … ils seront tous retrouvés. Tous, sauf lui.

Il est en cavale. Il change de nom, se fait appeler Dennis Whiles.

C’est sa nouvelle vie. Plus aucune nouvelle de sa famille, de ses parents. Il fait sa vie là bas, renie sa langue … vit dans la peur d’être découvert. Le fbi est à sa recherche … des dizaines d’années plus tard … le soldat perdu d’hitler … affaire non classé, non abandonné. C’est une volonté politique de le retrouver.

Il s’est marié. Au moment de sa retraite, son épouse cherche les papiers pour toucher une pension … elle ne trouve rien … pas d’acte de naissance … rien …

Il lui avoue tout. il finit par appeler sa famille. Et par là bas. Les retrouvailles sont … chaleureuses … mais ses parents sont morts, toute leur vie, ils n’ont pas su ce qui était arrivé à leur fils … puis les relations ne sont pas aussi aisées que cela.

Il finit par rentrée aux Etats-Unis … 18 mois plus tard … il n’avait plus donné de nouvelles à sa femme … elle a demandé le divorce … il est rentré sans son pays, qui n’est pas réellement le sien, mais ne se sentait plus chez lui en Allemagne …

Quelle vie … quel destin … tragique sans doute … vécu les combats … avoir du renier celui qu’il était … tout quitter, tout abandonner pour rester libre..


Le haïku




Ces petits poèmes japonais, trois vers seulement, me fascinent par ce qu ils sont sans en avoir l’air.

L’humour est au rendez-vous pour nous rappeler que les mots ont tendance à pécher par excès : Qui veut trop dire ne dit rien !

Admirez l art minimaliste même en littérature, pas besoin de trop en faire pour plaire (ma devise dans la vie entre autres)

• Tous les cris des marchands ambulants
Se sont tus
Midi. Les cigales

• Les montagnes lointaines
Dans les prunelles
De la libellule

• Je lève la tête
L’arbre que j’abats
Comme il est calme !

• L’étoile du berger tremblote
Dans l’eau plus noire et le pilote
Cherche un briquet dans sa culotte





mercredi 4 avril 2007

Dualité

Le 3 avril 2007,

Le soir, sous l’aile de la nuit, il a plu.
Tonnerre et éclairs ont divisé le ciel :
Hier, nuit sombre coupée par de brèves étincelles lumineuses
Aujourd’hui, matin lavé, matin clair
Tout semble renaître, neuf, resplendissant, frais
Dualité :
L’avant et l’après, toujours inséparables, indispensables
Ombre et lumière se suivent toujours mais ne superposent jamais
Tout comme mes pensées :
Après le désespoir, l espoir
Temps des pleurs, temps des rires
Mes futurs rides récolteront ce temps vécu dans leurs humbles sillons !


samedi 31 mars 2007

Alchimie


Le Temps déborde avec parfois dans le regard de l'Autre ce petit quelque chose
qui fait que nous devons nous mouiller pour lui .
Par pure intuition, en souhaitant que l autre se mouille aussi pour nous sans 
tarder pour valider l inexplicable alchimie !



 

dimanche 25 mars 2007

Je pense à vous!

Je dédie ce poème à tous ceux qui connaissent la quintessence du véritable sentiment et de la vraie amitié,

A tous mes amis qui comptent tellement pour moi, y compris ceux de fraîche date et qui se reconnaîtront sûrement !






Mon ami

Viens loger
Tes espoirs,
Tes joies,
Et tes déboires
Dans l’étendue de mon esprit

Viens trouver l’oubli
De tes peines,
De tes peurs,
De tes ennuis
Contre non cœur attendri

Et que s’envolent
Sans tarder
Tristesse et fatalité
De ta destinée
Dans l’appel de mon cri

Et que parcourent, cher ami,
La clarté de ton rire
Et l’éclat de ton regard
Ciel et terre
En ma fidèle compagnie.


A.M




vendredi 23 mars 2007

Comprends moi!



Pour toi!

Je t attends, mais je ne sais si le cri de mon âme trouvera enfin la sagesse de ton écho pour répondre a la solitude de mon coeur !
Mais n' oublies pas que toute attente doit être à la mesure d'un espace que l'amour définit.
                                                                                                                       A.M


mercredi 21 mars 2007

tant que l’espoir fait vivre, je vivrai de ça, ENCORE !

Le grand supplice de la gente féminine dotée d’une éducation traditionnelle est de vivre d’attente !

-Il faut de la patience ma fille, attend que tu sois grande pour t’épiler cette moustache qui te fais ressembler plus a un jeune phoque qu’ à une jeune femme.

-Attend que tu sois un peu plus grande pour porter les vêtements que tu voudras choisir pour toi-même.

-Ma fille, attend que tu sois majeure pour te mettre du khôl dans les yeux, il ne faut pas que tu aies un tel regard, tant de sex-appeal à cet age !!

-Ma fille, attends que tu trouves mari pour à partir de ce moment là, reconnaître ta sensualité, ton corps et en user !

-Et n oublie pas ma fille d attendre que les hommes fassent le premier pas, ce sont eux qui doivent te manifester de l intérêt et non toi, au risque de passer pour une fille légère.

-Attends ma fille que tu sois certaine de leurs sentiments avant d être certaine des tiens et de les laisser transparaître, gare à toi !

-Enfin ma fille, n’oublie pas que la spontanéité est l ennemi de la raison et de la sagesse, saches qu’attendre est toujours moins risqué qu’agir !
Ma fille, la vie a été ainsi faite par ceux qui t ont précédé, il faudra l’accepter , ne rien y changer, et vivre d’ATTENTE et D’ESPOIR !

-Oui mère, tant que l’espoir fait vivre, je vivrai de ça, encore !

                 A.M


Pour toi mon ange!

En t’attendant ton apparition

Cette envie de vivre
Encore j’en suis ivre.

Et pourtant j’avance là bas
Chaque jour loin de toi,

Je continue a t écrire
A imaginer tes rires

Le jour ou tu découvrira
Au nombre de mes pas
Au rythme de ma foi

Mon secret
Ton trésor,
Que je t ai aimé !

Ta A.M

mardi 20 mars 2007

Merci de tes visites Mima!

Mon songe

A peine les paupières closes,
Les sanglots, dans mon lit,
Viennent m’étreindre en amis.

1,2 ,3 ô monde lointain,
Temple des rêves,
Sans crier gare tu m’engloutis.

3, 4,5 Toi mon ange qui vient m’apaiser
Tout au long de la nuit,
Tu demeures à mon chevet.

5, 6,7 Je vois ton sourire Mima,
Mon océan de bonheur, Inaltéré
Et ta main généreuse, qui fut vaillante,
Effaçant mes larmes et me caresser.

7, 8,9 Je suis dans tes bras, humant ton parfum de roses
Ta voix me berçant,
Ta douceur m’enveloppant.

10 …Premiers souffles du jour, tu n’es plus là !
Telle une minute écoulée, la nuit s’est enfouie !
Mon songe est parti !

Le jour comme la nuit, tout s’envole comme s’est envolée
…..ta vie, Mima, Mon rêve éveillé !

A.M  ta fille

lundi 19 mars 2007

A la mémoire de ma très chère grand mère: Mima!

L autre jour, grand-mère
Au premier souffle du matin

Je t ai tenu la main
Pour voir ton dernier souffle
T’emporter vers le lointain

Tandis qu ici bas, je m’essouffle
A avancer, errante
A mon tour sur mon chemin
Duquel je guette les leçons a cueillir
Les joies et les peines à récolter

Comme tout me semble vain
Le tout
Le début et même la fin
Aujourd hui, je ne suis plus
Je ne sais rien!

Je compte sur mes doigts
Le nombre de tes visions
Qui partent aussitôt ,
Hantant mon esprit
mes pensées s interposent
Et s effacent L oubli et les lendemains

        A.M ta fille

dimanche 18 mars 2007

Identité et mimétisme social


Je vois les choses autour de moi avec un regard nouveau : les évènements de la vie, les gens, leurs ambitions, leur mode de vie, leur logique et leurs pensées.

Depuis un moment déjà, j ai essayé de réajuster ma logique et mes ambitions aux nécessités de la vie telle que la société l impose, non pas par plaisir mais par obligation, nous ne pouvons vivre en marge de la société car la réalité des choses nous ramène toujours dans le même courant, celui de la rivière dans laquelle nous sommes déjà sans l avoir choisie.

Mes pensées sont disparates, elles se heurtent parfois à mes désirs de renouveau et d idéaux irréalisables et d autres fois à la réalité rude, mais elles atterrissent comme toujours inaltérées, inchangées, mes ambitions sont telles quelles, elles sont simples mais robustes, je ne veux pas en changer sous peine de ne plus posséder mes propres rêves et de me réveiller un jour et me trouver étrangère à moi-même réduite à ce que les autres auront voulu que je sois, une pâle version de ce que j aurai pu être . Cette pensée me ramène à mon point de départ , une citation
Que voici :



« Se soumettre à ce que les autres attendent de moi afin d en être aimée ? Le mimétisme, plus qu’une perte d’identité, est-ce aussi la tentative de se retrouver  au sein de notre société ? »

….A méditer !











Aveugle!



Touche d 'humour, jouez les traducteurs!!





 Ce matin après avoir pris le petit déjeuner, je n avais nulle envie de bouger , alors comme d habitude, dans ces moments là, je n ai pour compagnie que la lecture, mais j avais envie de fouiller un peu dans les boites poussièreuses de mes écrits et de la collection que j avais faite , d histoires interessantes àpartager, je vous fais cadeau de quelques-unes, les plus attachantes à mon avis,
BONNE DECOUVERTE!





OU EST L AMOUR?!


"La Folie décida d'inviter ses amis pour prendre un café chez elle. Tous les invités y allèrent. Apres le café la Folie proposa :

-On joue a cache-cache ?

-Cache-cache ? C'est quoi, ça ? Demanda la Curiosité.

-Cache-cache est un jeu. Je compte jusqu'a cent et vous vous cachez. Quand j'aurais fini de compter, je cherche, et le premier que je trouve sera le prochain à compter. Tous acceptèrent, sauf la Peur et la Paresse.

1, 2, 3,... - la Folie commença a compter.

L'Empressement se cacha le premier, n'importe ou. La Timidité, timide comme toujours, se cacha dans une touffe d'herbe. La Joie courut au milieu du jardin. La Tristesse commença a pleurer, car elle ne trouvait pas d'endroit approprie pour se cacher. L'Envie accompagna le Triomphe et se cacha près de lui derrière un rocher. La Folie continuait de compter tandis que ses amis se cachaient. Le Désespoir était désespère en voyant que la Folie était déjà a quatre vingt dix neuf.

-CENT ! Cria la Folie. Je vais commencer à chercher...

La première a être trouvée fut la Curiosité, car elle n'avait pu s'empêcher de sortir de sa cachette pour voir qui serait le premier découvert. En regardant sur le coté, la Folie vit le Doute au-dessus d'une clôture, ne sachant pas de quel cote il serait mieux cache. Et ainsi de suite, elle découvrit la Joie, la Tristesse, la Timidité...

Quand ils furent tous réunis, la Curiosité demanda :

- Où est l'Amour ?

Personne ne l'avait vu. La Folie commença à le chercher. Elle chercha au-dessus d'une montagne, dans les rivières au pied des rochers. Mais elle ne trouvait pas l'Amour. Cherchant de tous cotes, la Folie vit un rosier, pris un bout de bois et commença a chercher parmi les branches, lorsque soudain elle entendit un cri. C'était l'Amour, qui criait parce qu'une épine lui avait crevé un oeil. La Folie ne savait pas quoi faire. Elle s'excusa, implora l'Amour pour avoir son pardon et alla jusqu'a lui promettre de le suivre pour toujours. L'Amour accepta les excuses.

Depuis ce temps la, l'Amour est aveugle et la Folie l'accompagne toujours."


Une touche d'humour

LES TROIS SOEURS VIERGES...

C'est l'histoire d'une mère qui a trois filles encore vierges.

Elles allaient toutes se marier.

Parce que Maman était légèrement inquiète à propos de leur première expérience sexuelle, elle leur à fait promettre d'envoyer une carte postale de leur voyage de noces avec un petit commentaire sur leur nuit de noces.

La première fille envoya donc sa carte postale avec un seul mot dessus : NESCAFE.

La mère fut un peu intriguée et alla se faire un café. En sortant le pot de nescafé, elle aperçue le slogan : Bon jusqu'à la dernière goutte.

Maman rougit un peu mais était contente pour sa fille.

La deuxième fille envoya à son tour sa carte postale. Il n'y avait qu'un mot: BENSON & HEDGES.

Elle se rua sur le paquet de cigarettes de son mari et vit le slogan: Extra Long - King size. Waow, Maman fut très gênée.

Au bout de plusieurs semaines, la troisième fille à son tour envoya sa carte postale avec le mot: BRITISH AIRWAYS.

Maman commençait à désespérer. Elle fonça à l'agence de voyage la plus proche et demanda une brochure British Airways.

La publicité disait: Trois fois par jour, sept jours par semaine et dans les deux sens.

samedi 17 mars 2007

Ma fascination pour le phoenix, créature de feu.




les créatures, tel  le phoenix, se rangeant du coté" élément feu " (faisant partie des cinq éléments chinois qui régissent les énergies du monde) sont des lucides, des clairvoyants. Mais ils seront également violents, irascibles, passionnés. Des fougueux, des ardents lucides, créatures d'action, de guerre.

 En  général, le Feu apporte la guerre, mais il apporte également la lumière, il purifie. Il est celui que la Terre ne nourrit pas, que l'Eau n'abreuve pas, que le Métal ne durcit pas. Mais il sait être caresse. Fils du ciel et des vents. Le Feu a sa propre conception du monde, des dieux et des hommes. C'est pourquoi il sera souvent un guerrier, un militaire, un homme d'action. Artiste, il sera fanatiquement anti-conformiste. Il lui faudra choisir entre lumière et destruction.

Certains esprits forts consumeront leurs passions, ranimant sans cesse le brasier, véritable buisson ardent d'où jaillira la lumière.

le phoenix caractérisé par son pouvoir de renaître après s'être consumé sous l'effet de sa propre chaleur symbolise ainsi les cycles de mort et de résurrection.

 Libre par ses ailes , il représente l ' envol certain vers la liberté.
Le feu qui est sien, le detruit au même titre qu il le reconstruit.

Ainsi est le feu de la volonté qui anime l ardeur de nos actes, habite le coeur de chacun de nous qui sachons se détourner de la passivité et aimons  progresser par cette flamme interne , qui  nous guide vers la concrétisation de notre propre destin,
notre légende personnelle.

Enfin, que chacun de nous sache utiliser à bon escient la flamme sacrée qui habite son coeur ,qu il sache la renouveler sans cesse pour progresser mais aussi qu' il sache l' anéantir quand elle est tentation  pour purifier son ame .


la légende du phoenix



Le phénix ou phœnix (du grec ancien φοῖνιξ / phoinix) est un oiseau fabuleux, doué de longévité et caractérisé par son pouvoir de renaître après s'être consumé sous l'effet de sa propre chaleur. Il symbolise ainsi les cycles de mort et de résurrection.

Son plumage rouge est à l'origine de son nom : « phénicée » ou pourpre. Il a l'envergure d'un aigle, sa tête est surmontée d'une huppe écarlate, les plumes du cou sont dorées, il a les ailes rouges, la queue entrecroisée de plumes blanches et incarnadines, les yeux étincelants et ses serres et son bec sont en or.

Le fenghuang (鳳凰 / 凤凰 pinyin : fènghuáng) ou phénix chinois est un oiseau mythique qui règne sur tous les autres oiseaux. Les mâles sont appelés Feng (鳳) et les femelles Huang (凰). Cette distinction des genres est parfois éclipsée pour ne former qu'une seule entité féminine. En effet cet oiseau est souvent associé au dragon (dont il est parfois considéré comme le père) qui est son pendant masculin.

vendredi 16 mars 2007

Bébé blog!


L' idée de créer mon blog date déja depuis un  moment, mais je n avais pas le temps de matérialiser cette envie .
Aujourd'hui grâce à un ami à moi, j ai eu ce courage , suite à quelques commentaires postés sur son blog.
Il se reconnaitra , j en suis sure!!