Une fleur qui se fane
Qui regorge de beauté,
Qui se mue immobile
Dans le bassin d'eau privée de liberté,
La liberté de grandir ,de bouger
Et près des siens, se faner
Accrochée a sa branche
Qui l'a vu naître frêle, belle éclore et seule,rêver!
De perpetrer un doux songe d'étérnité
Etre messager d'espoir et d'amour
Et vouer ses pétales aux pensées de ses bien aimés
Eternelle symbole d'amour,noble messager de vérités
Elle se fane moins vite parfois que l'amour lui-même
Qui a pris l'éphémère pour éternelle forme
Et le départ pour ultime réalité.
23 commentaires:
Les fleurs ne se fâneront jamais tant que tu existes!
Ton parfum d'Ange embaumerait leurs carrés, et, les fera renaître de leurs cendres, comme toi ,Free-Phénix, ma Fleur Bien Aimée!
Ta fleur n'est pas éphémère, car, elle est Amour, et, l'Amour est Divin ,et, tout Divin est Eternel!
نَوَّارَة حْنِينَـة
مُمْكِنْ يَاسْمِينَـة
وْ مُمْكِنْ رَيْحَانَـة, غِيرْ كُلّ الرَّيْحَـانْ
تضْحَكْ و حْزِينَـة
فِي حُضْن جْنِينَـة
تحْكِي لِلنِّسْمَـة,
وْ تِشْكِي،
مِنْ ظُلْمِ الإِنْسَانْ..
قَالِتْ يَا خْسَارَة
آنَا نَوَّارَة
لاَ عِنْدِي جَاهْ, وْ لاَ عِنْدِي سُلْطَانْ..
كُلّ اللِي عِنْدِي
رِيحَة عْلَى خَدِّي
هِيَّ اللِي بِسْبَبْهَا, كَان اللِي كَانْ..
رِيحَة تَحْرَقْنِي
وْ سَاعَاتْ, صَدَّقْنِي
لِمْحَبَّة تُقْتُلْ, لِمْحَبَّة سَجَّانْ..
لَوْ كَانْ بِيدَيَّ
رِيحِةْ خُدَّيَّ
نَعْطِيهَا هْدِيَّـة, و نْعِيشْ فِي أَمَانْ..
اللِي يَهْوَانِي
يَجْرَحْ أَلْوَانِي
يْخَلِّينِي نْقَاسِي
فِي مَحْبِسْ قَاسِي
مَا عَادِشْ فَارِقْ,
لاَ,
مَا عَادِشْ فَارِقْ
بِينْ القَلْب العَاشِقْ
و القَلْب اللِي مِنْ صَوَّانْ...
نَوَّارَة حْنِينَة
سْمَعْت حْكَايِتْهَا
حَسِّيتْ بْرُوحِي
سَاكِنْ رِيحِتْهَا
وْ هَارِبْ مِنْ ظُلْم الإِنْسَانْ...
آدم فتحـــي
Je vous adore madame car tout ce que j'ai voulu c'est cette réponse.
Je vous remercie du fond du coeur !
Ellotf ! L'art de souffrir et de faire souffrir ? Mais non ce n'est pas ça. Je n'ai rien à avoir là-dedans. Je ne suis concerné ni par les textes à l'eau de rose ni par les textes au sang chaud. Je n'ai voulu qu'accompagner pour montrer du doigt des rapprochements. Et ce qui doit être souligné vous l'avez bien exprimé: "Quelque part, au fond de nous, il y a toujours un Petit Prince qui somnole et, qui a quelque part, sur une planète perdue, dans notre système solaire, une fleur, UNIQUE, qui fait son bonheur rien que parce qu'elle existe!". Je vous adore madame parce que vous avez résumé l'essentiel en quelques mots. Surtout ne vous laissez pas emportée par ces artistes de la misère : la souffrance use l'espoir et la foi.
Je vous adore !!!
Au fait, il y a un lien étroit entre l'âme de "Rose" et cette chanson chantée par Lotfi Bouchnek. Je vous invite à visiter le site de l'auteur www.adamfethi.com
Mon art à moi est plutôt le silence mais j'aime ce sens qui se dégage de votre commentaire : il suffit de préserver la foi pour pouvoir préserver l'espoir. Tout au long ce n'est pas l'art de souffrir qui est condamnable mais le fait que cette souffrance n'est pas légitimée.
Donc je ne peux que vous inviter à planter des arbres d'espoir à travers vos commentaires car le monde en a besoin.
Madame, je suis vraiment désolé pour le retard. J’ai trop de boulots et j’ai vraiment mal au dos. J’aurai dû lire et honorer votre commentaire en temps réel. En effet, ce n’est pas du bavardage, car vous êtes une fontaine de sapience et ce que vous êtes entrain de noter a été et sera toujours le trajet de l’édification du sens. Cette souffrance se résume dans l’effort par excellence. C’est une question d’une cause collective pour laquelle il s’agit de donner, de fructifier, de lutter, de sacrifier, wallahou al mostaan… Nous lui demandons de nous rendre meilleur et puis, d’améliorer les autres par notre exemple ; de nous guider, puis de guider les autres à travers nous ; de nous montrer la Vérité vraie, et de nous donner de la suivre ; de nous montrer enfin l’erreur complète, et de nous accorder de lui échapper.
Vous parlez d’objet de souffrance… Mais là c’est un sujet qui est entrain de souffrir. Ne vaut il pas questionner plutôt le projet de cette souffrance. Car la médiation de l’objet par le sujet prend toujours la forme d’un projet (Bachelard). Une souffrance ne devient-elle pas impeccablement illégitime dans un cadre dialectique et binaire qui suppose un objet comme dans l’amour de nos jours par exemple? un amour sans projet ni trajet...
Madame, Mouldek mabrouk et à votre rose aussi !
Ne vous inquiétez pas, je vais bien. Je survis malgré tout. Quant à Missablue, elle vous appartient, donc son blog et moi aussi. Puisque je l'appartiens à mon tour. D'ailleurs, j'arrive enfin à discriminer entre votre style et le sien. Il y a un truc qui est symétrique entre vous deux. Probablement, il lui faut trois décennies pour l'apprendre et migrer 180° vers le "bon" sens, car il lui faudra beaucoup de bon sens. En ce qui me concerne, je baigne sur une autre planète désertée de sens.
Je déteste le désert, mais je le sens partout là où je passe. J'aime bien les écrits de Saint-Exupéry et je le déteste quand il dit " J'ai toujours aimé le désert. On s'assoit sur une dune de sable. On ne voit rien. On n'entend rien. Et cependant, quelque chose rayonne en silence...". Je sens ce silence partout où je passe… Tout au long, je dois dire que je n'ai rien à avoir avec l'art de tisser les mots. Je n'ai jamais commenté que ce blog ou ceux qui lui sont intimement attachés. En conséquence, le "quel personnage" est votre rose et non pas moi.
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