lundi 9 juillet 2007
dimanche matin
Le matin, première brise vient à la fenêtre me saluer.
Je me réveille en sursaut, mon frère a oublié de débrancher son radio réveil, la sonnerie m'a extirpée de mon sommeil paradoxal; mon rêve à peine commencé a été emputé d'un cri d alarme sourd.
Dimanche matin, soucis ménagers, journée bien remplie de vide!
la journée de repos fictif vient de naitre en même temps que mon angoisse!
Que vais-je faire aujourd'hui, un dimanche de plus, une journée de moins ds ce mois qui passe à une vitesse virtigineuse, le premier, le deux et deja le 8 juillet, et les jours qui se succédent plus ennuieux et vides de sens que jamais!
J'écris toujours et encore, cherchant je ne sais quelle parcelle de mon être , qui soit intacte , non contaminée de lassitude pour peut etre aller de l avant!
et Si je la trouvais cette partie de moi encore verte , ce vert paturage à quoi me servira-t-il, y planterai- je quelques fleurs?
Les oiseaux partent et reviennent sans être invités quelque part ni etre congédiés, et les coquelicots naissent spontanément!
Je le sais et je savoure cette palissade non sans soupirer!
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