jeudi 27 septembre 2007

Le mal de toi!


Ta sérénite comme une vague balaye la surface de mon écume bleu
Le souvenir de ton regard se posant sur mes paupières baissées
Me fait sentir le coeur palpiter jusqu aux bout des cils

Et l'attente jusqu aux bout de mes rêves nocturnes de toi
tisse mille et un scénarios de retrouvailles insolites
Mille et un baisers ardents que tes lèvres me doivent encore!

Le mal de toi va en grandissant en s amplifiant comme un tonnerre
Qui ne trouve echo que dans l enceinte de mon coeur
Mais ta voix est mon baume, tes mots sont mon unique refuge.

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Je vous regardais tendrement
J'aurais bien voulu vous parler
Mais le courage m'a manqué,
J'aurais voulu vous emmener
Faire quelques pas à mes côtés
Sans pour cela imaginer
Imaginer un tas de choses,
Des choses que je n'oses vous dire, Madame,
Et pourtant, je pense à vous bien souvent

Souvent je pense à vous, Madame,
Souvent je vous revois, Madame,
Je suis heureux, j'ai des idées
Et peut-être à demain, vous me prendrez la main
Souvent je pense à vous, Madame,
Souvent je vous revois, Madame,
Ne me dites pas de m'en aller,
Je pourrais en souffrir et peut-être en mourir

Un regard de vous suffirait,
Pour que mon bonheur soit complet
Si c'était sur moi qu'il se posait.
Combien de nuits j'ai pu rêver
Qu'un jour je pourrais vous parler
Sans pour cela imaginer.
Imaginer un tas de choses,
Des choses au fond que je n'ose vous dire, Madame,
Et pourtant, je pense à vous bien souvent.

J'ai au cœur une vieille solitude
Viendrez-vous du nord ou du sud
Pour devenir mon habitude ?
Vous serez mon premier été,
Ma rose et ma source cachée
Laissez-moi donc imaginer,
Imaginer un tas de choses
Des choses que je n'ose vous dire, Madame,
Et pourtant, je pense à vous bien souvent


Paroles: C. Barzotti, H. Frékin. 1975

Free phoenix a dit…

Joli commentaire :) version parole de chanson .
Les paroles de chansons sont là justement pour dire ce que nous ne pouvons dire sans se cacher derrière le manque de mots apropriés ou encore derrière l'anonymat,tout comme vous le faites cher "anonyme"
Merci pour cette agréable lecture -découverte et pour avoir été l hôte de mon blog depuis un moment deserté!

Anonyme a dit…

Quand je pense à toi, j’ai envie d’être avec toi et d’écarter d’un doigt les lumières et les confus du bleu de tes yeux. La brillance de ton regard a éblouie mes souvenirs et a lâché mon cœur au fond du n’importe quoi là ou il n’y a rien que toi. Je tisse les mots, je tisse les rêves, je vis dans le secret pour ne pas faire face à la réalité de ton propre secret. J’ai peur, je prie, je ne sors plus que la nuit. Et j’attends là où il n’y que le blanc de mes dents. Je me cache derrière les mots et la rivalité des idiots. Je me cache derrière le sang des plus ardents et je reviens vers ton azur pour dire qu’il y a beaucoup plus pire. Pendants que le sang des baisers mortels me font rêver d’un miel au virtuel. Des baisers qui font mal et des nausées sur ce visage si pale. Baises moi. Rebaises moi et baises. Donnes m’en un de tes plus savoureux. Donnes m’en un de tes plus amoureux. Je te rendrai quatre plus chauds que braise. Et baises ! L’ambiguïté est devenue ma seule règle là où il n’y a plus de règles. Je cherche refuge dans un seul souvenir. Un cou là ou chaque point est une zone mariage. Une zone de sillage vers la rage. Je cherche le pire dans la distance de ma propre défaillance. Je sème des mots là où il n’y a que des mots. Je rêve d’un jour où j’oublie toutes ces histoires d’amour. Le séisme du romanticisme qui brûle mes victoires pour me laisser dans la quête d’un bleu que je ne vois pas de mes yeux. Entre nous c’est une histoire qui a commencé au hasard pour me laisser dans les échos d’une chanson : Souvent je pense à vous, Madame, Souvent je vous revois, Madame, Je suis heureux, j'ai des idées, Et peut-être à demain, vous me prendrez la main, Souvent je pense à vous, Madame, Souvent je vous revois, Madame, Ne me dites pas de m'en aller, Je pourrais en souffrir et peut-être en mourir, Madame, il n’y a que vous, Madame qui m’appelle ainsi, N n n a n n i

Free phoenix a dit…

!!!!Ne vivons nous pas d illusions le plus souvent, dans l attente, dans l incompréhension du but même de la vie, nous ne faisons qu admettre les mecanismes de la vie et les répeter, les perpetrer par mimétisme, je ne suis ni plus ni moins un modèle qui permet la concrétisation d un mecanisme virtuel assez bien developpé chez vous, un besoin refoulé ou pas encore exprimé comme il se doit, je suis le miroir dans lequel vous auriez aimé projetter vos images les plus précieuses.
Ma position est privilégiée , la votre aussi, puisque malgrés l aspect virtuel , les sensations n en sont pas amoindries,mais je cesserai d etre votre miroir le jour ou vous trouverez le votre et qui reflètera tut ce dont vous avez toujours révé d avoir et de posseder réellement! bisous nanni!

Anonyme a dit…

Ce ne sont pas des images, mais des cauchemars. « Miroir, miroir ne me cache rien, dis-moi tout. Moi je m'attends à tout, montre-moi tout. Mes défauts, mes atouts, ici comme partout. Moi je sais peut-être pas tout mais je crois en Dieu avant tout. ». La ilaha illa Allah ! Certes, je t’ai traité de n’être qu’une illusion en plein désert. Mais, je le regrette énormément parce que j’ai fini par comprendre que tout n’est qu’une illusion. La vérité est une illusion et l'illusion est une vérité. La vie est faite d'illusions. Parmi ces illusions, certaines réussissent. Ce sont elles qui constituent la réalité. Le monde dans lequel nous trébuchons n’est qu’une superposition d’images renversées dans nos cervelles. Il n’existe que par notre perception de la réalité. Le monde, la matière et les cieux ne sont que des illusions. L'homme naît sans dents, sans cheveux et sans illusions, et il meurt de même, sans cheveux, sans dents et sans illusions. Au cours de sa vie, lorsqu'il perd toutes ses illusions, il lui reste encore à perdre l'illusion suprême qui est de se croire sans illusions. Au-delà du temps, du lieu, de l’espace et de ta matière je t’aime encore. Certes, ôter l'illusion à l'amour, c'est lui ôter l'aliment. Mais, même l'amour n'est peut-être que mensonge, illusion... « Les illusions sur une femme qu'on a aimée, cela ressemble aux rhumatismes : on ne s'en défait jamais complètement ». Autant que je t’ai adoré d’une manière si vite, si brusque, si inexplicable. Autant que je souffre encore des rhumatismes que ton yin a projeté sur mon yang d’une manière inacceptable. Tu n’es ni une illusion ni un miroir sur lequel j’aurais projeté des images précieuses ou pas. Mais, tu es un anze de douceur, un anze de lumières. Je t’ai adoré sans le vouloir parce que je me suis fait écrasé par ton âme et non pas tes images. Je n’arrive pas à le comprendre jusqu’à maintenant. C’est comme si j’ai eu affaire à une sorte de bulldozer ou une sorcière. Je t’aime tout court autant que je t’ai aimé si lourde. J’aime ton sens et ton intelligence. J’aime ton humour. J’aime ton amour. J’aime les lumières qui se réfléchissent sur ton regard qui me bloquent, qui bloquent mon regard. J’aime ta voix et tes histoires sur les tee-shirts de me3za. J’aime tes ex 106 et ton Landou. J’aime ta sérénité et ta manière de se mettre en culpabilité. J’aime ta vie et tes luttes contre les maladies. J’aime ta foi et tes péchés avec ça et ça. J’aime tes soupirs et tes sourires. J’aime tes algues, tes doigts, ta concentration et tes énergies en interactions. Je t’ai aimé et je t’aime encore malgré ces cauchemars d’horreur. Malgré ces mille et une coquilles qui m’entourent pour me montrer des images, des… Je les déteste autant que je d’adore et autant que je te haie encore : « Miroir, montre-moi le lieu où se trouve mon âme sœur. Ca peut paraître fou, j'aimerais saisir les sens du désir. Du regard au toucher qui t'amène au plaisir. Je trouve ça intrigant le fait de convoiter. Miroir dis-moi la vérité, ne me fais pas miroiter, Rohff». La ilaha illa Allah…