jeudi 7 février 2008

Sérénité perdue


Ecumes, vagues et brouillards
Vastes étendues lisses
Métal , acier, couleurs froides
Lassitude et froideur
Ton monde maussade m' effraye, me glace

Moi je suis la joie, l'entrain
La brise qui passe dans tes cheveux
L'air et la lumière
Qui brise ton ombre plus bas
Et qui éclaire tes regards perdus

Je suis l oeil serein,
La main qui caresse
Le refrain qui enchante
Mais je ne suis rien sans toi
Tant que loin de toi tous mes pouvoirs seront vains

Je ne peux qu' attendre
Que ta voix s'élève m'apelle
Que l'espoir revienne enfin
Que tu sois mien
Que je sois tienne
Sans frontière aucune!

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Your love is magical, that's how I feel
But I have not the words here to explain
Gone is the grace for expressions of passion
But there are worlds and worlds of ways to explain
To tell you how I feel
But I am speechless, speechless
That's how you make me feel
Though I'm with you I am far away and nothing is for real
When I'm with you I am lost for words, I don't know what to say
My head's spinning like a carousel, so silently I pray
Helpless and hopeless, that's how I feel inside
Nothing's real, but all is possible if God is on my side
When I'm with you I am in the light where I cannot be found
It's as though I am standing in the place called Hallowed Ground
Speechless, speechless, that's how you make me feel
Though I'm with you I am far away and nothing is for real
I'll go anywhere and do anything just to touch your face
There's no mountain high I cannot climb
I'm humbled in your grace
Speechless, speechless, that's how you make me feel
Though I'm with you I am lost for words and nothing is for real
Speechless, speechless, that's how you make me feel
Though I'm with you I am far away, and nothing is for real
Speechless, speechless, that's how you make me feel
Though I'm with you I am lost for words and nothing is for real
Speechless

Your love is magical, that's how I feel
But in your presence I am lost for words
Words like, "I love you."

Speechless

Anonyme a dit…

La splendeur de la jeunesse est de retour au jardin.
La bonne nouvelle qu'arrive la rose parvient au rossignol à la voix mélodieuse.
Zéphyr, si tu rencontres les jeunes pousses dans l'allée du jardin,
fais parvenir notre hommage aux cyprès, à la rose et au basilic.
Si le jeune mage marchand de vin fait semblable parade,
je ferai de mes cils le balai au seuil de la taverne.
O toi qui fais passer sur la lune le maillet d'ambre pur,
ne me bouleverse pas, car déjà la tête me tourne !


- chapitre : Ghazal 9 - page : 111 - éditeur : Verdier - date d'édition : 2006 -

Anonyme a dit…

Tu es belle, si belle que te regarder est une souffrance. Tu es belle, si belle que te parler une pénitence. Tu es belle, si belle que te souhaiter est une désespérance. Tu es belle, si belle que t'aimer n'a aucun sens. Tu es belle, si belle que t'écrire est une inappétence. Tu es belle, si belle que te sourire est une répugnance. Tu es belle, si belle que penser à toi est une démence. Belle par ton bleu. Belle par chaque point que tu cache désormais sous les cheveux. Belle au fond de mon cœur. Belle que même avec une coiffure recolorée tu n'arrives pas à être plus belle. Belle…

Anonyme a dit…

Tu pensais que je t'avais oublié… ? Comment pourrai-je t'oublier ? Comment pourrai-je t'effacer ? Je n'arriverai jamais à te remplacer. Toi qui ne quitte jamais mes pensées. Toi, qui as déjà tout écrasé. Toi que je n'ai pas su te garder. Toi avec laquelle j'aurai aimé édifié l'empire de l'action et de la sagesse. Mon âme, mon corps t'appartiennent désormais même s'ils sont aujourd'hui piétinés par tes propres soins. Tout ce que je sais c'est que je t'aimerai à jamais. Toi que je n'arrive pas à oublier..

Anonyme a dit…

Je n'arrête pas de se rappeler du regard morose et fascinant que tu mènes à travers les champs et les montagnes. Est-ce que je suis le mieux que personne qui te comprends et te connais ? Lésée irritée complètement désintéressée tu es ta seule alliée comme un pion sur un échiquier dont l'enjeu le lasse, tu prends les choses tels qu'ils sont dans une société mécanique qui brise des émotions… Tu portes le poids d'un monde qui ne t'as jamais reconnu à ta juste valeur. Alors que ton amour me consume depuis la nuit des temps, tu m'as placé là, loin de ta grâce et de ta miséricorde. J'ai les mains vides et je ne peux rien te donner. Mais, je ne serai jamais loin. Je poursuivrai toujours ta lumière brillante de mille feux qui m'a laborieusement éclairé. Cette eau bleue qui coule en moi. Que je comprends et que je connais.

Chaque fois que je parle de toi, ils me posent toujours la même question : est ce que tu l'aimes ? T7ibha ? Mais bien sûr que je t'aime. J'aurais aimé que tu m'aimes autant que je t'aime. Je ne peux pas avoir honte de dire que tu fais désormais partie de ma vie. J'aurais aimé te déclarer la femme de ma vie. Par le mal que tu me donnes. Par le bien que j'aurais aimé te faire. J'aurais aimé te plaire comme une âme sœur. J'aurai aimé être un prince pour être à ta hauteur. Pour ne plus voir que ta lumière et la garder au plus profond de mon cœur qui est désormais le tien. Tu ne fais que le ranimer, le raisonner, le façonner, lui faire apprendre comment être vrai. Comment lutter contre le diable et ses démons. Comment garder la foi et t'adorer. Je ne me plains pas et je ne perds pas de direction. Je tiens à ma mission. J'ai tant à militer à conduire face au vent qui souffle fort, face à l'extorsion et la malversation. Comme toi, je ne peux qu'être satisfait de ce que dieu m'a donné. Il m’a énormément donné. Il m'a donné ma chance. Il t’a guidé vers moi. Je lui demande donc d'abord, de me rendre meilleur et puis, d'améliorer les autres par mon exemple ; de me guider, puis de guider les autres à travers moi ; de me montrer la Vérité vraie, et de me donner de la suivre ; de me montrer enfin l'erreur complète, et de m'accorder de lui échapper.